OM-Benfica : la conférence de presse d'avant-match

Jean-Louis Gasset : "L'avantage, c'est qu'on joue à domicile et savoir que dans ces grands rendez-vous on a répondu présents. On a marqué 3 buts contre le Shakhtar et 4 contre Villarreal. On doit craindre les qualités offensives de Benfica et être attentifs et agressifs quand on aura perdu le ballon".

Jean-Louis Gasset : "Comme on est toujours positifs, et qu'un match de coupe d'Europe reste un match de coupe d'Europe. La dernière impression, c'est qu'à l'heure de jeu, on a fait une équipe improbable et alors que tout aurait pu mal se passer, on veut croire qu'on a mérité de garder l'espoir d'être encore en vie. On les a mis à mal, il ont douté et on été sifflé. C'est un motif très encourageant pour demain".

Jean-Louis Gasset : "Soglo, il est dans le groupe. Si on l'a rentré à Benfica à une demi-heure de la fin... Les changements étaient terminés. Mbemba a joué au courage, à ses yeux il avait tout donné. Il fallait inventer un truc et c'est vrai que la blessure de Quentin Merlin nous avait désorganisé un peu. C'est un petit qui est dans le groupe. Contre Donetsk, il était rentré à un quart d'heure de la fin, je ne le connaissais pas. Je pensais qu'il pouvait assumer. Il est dans les trois ou quatre joueurs qui peuvent jouer sur le côté."

Jean-Louis Gasset : "Les causeries, c'est au feeling, c'est le regard des joueurs. On sait ce qu'on a fait, en s'appuyant sur différents schémas, différentes organisations. On sait que c'est épuisant, on ne peut pas presser tout un match. Il faut mettre le groupe en confiance. C'est mon rôle."

Jean-Louis Gasset : "Un but ne suffira pas. On n'est pas à l'époque où le but à l'extérieur compte double. On va essayer au maximum d'entrée, il n'y a pas de calculs. C'est la sécurité défensive qu'il faut travailler. On l'a fait toute la semaine. Il y en a qui ont l'obligation de garder notre cage inviolée et d'autres qui ont le devoir de marquer. Et demain matin, on va emboîter les deux. Ils ont vu qu'il faut être acteurs quand on perd le ballon".

Jean-Louis Gasset : "Aubameyang, il faut brouiller les pistes, on connait sa position préférée, on doit lui mettre des joueurs différents pour faire l'entame de match qu'on veut. Il faut lui laisser une certaine liberté, il est irremplaçable dans le geste décisif."

Jean-Louis Gasset : "On l'a déjà fait. Personnellement, on a joué ensemble le Shakhtar et Villarreal. On n'a pas besoin d'être nerveux, les joueurs sont conscients du matchs qu'il faut faire et agressivité ne veut pas dire agression. On est concentrés mais conscients qu'on a un but de retard. On sait qu'on joue contre le quart de finaliste de la Ligue des Champions la saison dernière. A nous de faire que cette rencontre soit hors normes pour eux".

Jean-Louis Gasset : "On va tirer des pénaltys cet après-midi. On ne le travaille pas au quotidien, mais c'est vrai qu'il faut voir les attitudes des tireurs".

Jean-Louis Gasset : "Il faut que des gens prennent le relais, on ne pas toujours compter sur Aubameyang. On a perdu Sarr qui était un bon complément. Je sens mes joueurs conscients du match qu'il faut faire, conscients qu'on l'a déjà fait, mais aussi qu'on a un but de retard. Le stade va être en feu, ok, mais c'est nous qui devons les amener avec nous. A nous d'être à la hauteur et d'avoir l'efficacité le plus tôt possible".