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La conférence de presse de présentation de Roberto De Zerbi avec Pablo Longoria

La conférence de presse de présentation de Roberto De Zerbi avec Pablo Longoria
  • 16:10

    C'est la fin de cette conférence de presse, merci de l'avoir suivie en notre compagnie. Les meilleurs moments, ainsi que l'intégralité de cette prise de parole est à retrouver très vite sur le Phoceen.

  • 16:08

    Pablo Longoria : "J'ai beaucoup de respect pour les autres présidents, surtout que certains mettent leur argent personnel et je comprends l'énervement car le risque est très grand, comme pour notre propriétaire Frank McCourt. Je n'aime pas la polémique. Vous me connaissez, j'ai mes stratégies et j'ai les intentions d'arriver à nos idées. On est une locomotive du foot français, personne ne peut le nier. On doit être respecté et notre opinion est importante. A chaque réunion de Ligue, j'ai parlé, dans tous les collèges de Ligue 1, j'ai parlé. Pour l'OM et pour le championnat. Que doit-on faire ? Avoir une ligue forte et tournée vers l'avenir. Je peux porter des idées aussi par rapport à mon poste à l'ECA (foot européen). Je vais porter mes idées. On doit sortir des polémiques indidualistes, on doit coopérer. Si tout le monde parle de football, de la vie de la semaine, ça fait un championnat. Roberto De Zerbi l'a connu en Premier League. Si on ne donne que les matchs, ça ne crée pas de la valeur. On est dans le pays de la mode, du luxe, des indistries mondiales. La France est un pays multisport et on doit remettre la passion dans le football. Il y a aussi le piratage. La quantité d'IPTV dans le pays, ce n'est pas normal. C'est voler de l'argent aux clubs. On doit protéger nos droits. Ca détruit la valeur. Il faut protéger mieux notre produit".

  • 16:02

    Pablo Longoria sur Grennwood et Atal : "Je n'aime pas parler des cas individuels. On doit parler des valeurs que doit véhiculer le football et l'OM. Je vois beaucoup de questions sur les valeurs du football. Ce qui est vrai c'est que depuis un an et demi, on a mis un des plus gros programmes sociaux à l'intéreur d'un club, 13e Homme, c'était mon idée. Ce qui est sûr, c'est que quelque soit le joueur qui vient à l'OM doit partager les valeurs du club. L'OM est un vecteur de société, d'unité, il n'y a pas de religion. C'est ce que je souhaite, que tout le monde aille vers l'unité, avec des bonnes valeurs et des bonnes personnes."

  • 15:59

    Pablo Longoria : "Pour le gardien de but, on fait consensus sur toutes les décisions. Il y a des discussions en cours avec un club pour la sortie de Pau Lopez, mais on n'a pas d'accord. Si on trouve le bon remplaçant, on prendra la décision."

  • 15:58

    Pablo Longoria : "Valentin Rongier, c'est surtout au département médical de donner un avis. Je n'ai pas la compétance pour répondre. Il est en réadaptation."

  • 15:56

    Pablo Longoria : "Les moyens à disposition, ce sera le maximum qu'on peut faire. La trésorerie est importante maintenant. On veut donner au coach, dans des possibilités raisonnables pour donner au club ce qu'il faut. On doit changer beaucoup de choses. Il y a besoin d'un changement très profond sur les valeurs primaires qui règnent dans le football. Pour gagner, on a besoin de bons joueurs."

  • 15:53

    Pablo Longoria : "Maintenant, c'est le moment de faire l'unité dans le football français. Il faut prendre les meilleures décisions pour les clubs et le football français. J'essaie de m'investir beaucoup. Si on est dans cette situation... Le championnat français est un des meilleurs championnat d'Europe et on ne peut pas accepter une telle dévalorisation. Après avoir travaillé dans chacun des championnats, je peux parler. Il faut savoir commercialiser un produit qui arrive aux familles, aux utilisateurs. Bielsa a dit des choses que j'ai apprécié. On ne parle pas de football. On ne valorise pas assez notre produit pendant la semaine, on cherche à en faire des polémiques, c'est la société. On ne parle pas assez de ce qu'on a. Le football est positif, il y a des valeurs en France. Depuis quatre ans que je suis là, les stades, l'affluence, le niveau des joueurs est haut. On doit changer notre modèle, mettre le football au centre de la question. Savoir comment Saint-Etienne est remonté, savoir qui va joueur milieu de terrain avec Le Havre. En Italie, on parle de tous les clubs. On doit développer le collectif pour revaloriser. C'est ma vision".

  • 15:46

    Roberto De Zerbi : "Je veux remercier mon ancien club, mon ancien propriétaire, mes anciens joueurs avec qui j'ai un rapport particulier, on est resté très proche. Les supporters également de Brighton qui m'ont toujours soutenu. Je pense que si je suis ici c'est parce que j'ai réussi à Brighton, donc je tiens vraiment à les remercier et leur dire que je ne les oublie pas. Après, comme je l'ai expliqué, je travaille là où je me lève avec de l'envie chaque matin, je veux travailler dans des endroits qui me donnent la chair de poule, avec des personnes sérieuses, des personnes crédibles. L'OM c'est un très gros club qui est en reconstruction. Les personnes qui m'ont appelée ont toujours été sérieuses et honnêtes. C'est quelque chose qui m'a poussé à venir ici. Après, j'ai commencé en cinquième division en Italie, sans l'aide de personne, et je suis arrivée jusqu'ici à l'Olympique de Marseille. Ce qui m'importe, c'est vraiment la motivation, ce qui me pousse. Je ne me vois pas travailler autant d'heures, faire un travail avec autant de sacrifices, sans l'ambition de faire au mieux."

  • 15:41

    Roberto De Zerbi : "Évidemment que les bases sont importantes, les contrôles, les bases, on en a besoin pour jouer. Ce sont des choses qu'on doit travailler au quotidien et remettre à une vitesse différente, supérieure à celle d'hier. Il faut réussir à tout faire, à tout travailler. L'important c'est surtout de le retranscrire le dimanche pendant les matchs."

  • 15:39

    Roberto De Zerbi : "Le tout premier objectif que j'ai, comme partout, c'est de pouvoir rendre fiers les gens qui viennent nous voir au stade, avoir une connection entre les joueurs et les tribunes. Comme fan, j'ai voulu m'identifier au joueur qui me représentait sur le terrain. Quand je suis allé au stade comme fan, j'ai voulu ça. C'est mon premier objectif. Ça ne change pas depuis que je suis allé au Brighton, quand j'ai entraîné à Foggia, à Benevento. C'est toujours mon premier objectif. Ensuite, il y a l'objectif de football, de jeu, de résultats. Mais le premier doit être celui-ci, parce que sans cela, on ne peut pas atteindre les autres objectifs."