Foot : l'interview lamentable et méprisante de Luis Enrique après la défaite du PSG

Hier soir, après la défaite sans appel du Paris Saint-Germain face à Arsenal, l’attitude de l’entraîneur parisien Luis Enrique a fait couler beaucoup d’encre. Lors de l’interview d’après-match diffusée sur Canal+, le coach s’est montré particulièrement arrogant et désintéressé, allant jusqu’à mépriser ouvertement la journaliste Margot Dumont. Une scène qui a choqué, tant par le fond que par la forme, et qui a suscité de vives réactions dans le monde du football.

 

 

"Vous ne comprendriez pas"

Dès le début de l’entretien, l’entraîneur, visiblement agacé, a refusé de répondre à trois questions consécutives, laissant planer un malaise palpable. Face à une intervieweuse cherchant à comprendre les raisons de cette nouvelle contre-performance, et les raisons de la mise à l'écart d'Ousmane Dembélé, il a multiplié les esquives. Pire encore, lorsque Margot Dumont a tenté d’aborder les choix tactiques du coach, ce dernier a répliqué sèchement : "Je n'ai aucune intention d'expliquer ma tactique, car vous ne la comprendriez pas".

Cette phrase, lourde de mépris, a immédiatement enflammé les réseaux sociaux, où les commentaires indignés n’ont pas tardé à pleuvoir. Plusieurs personnalités du football, ainsi que de nombreux supporters, ont exprimé leur désaccord face à cette attitude condescendante. Pour beaucoup, cette sortie médiatique est le reflet d’un manque de respect non seulement envers la journaliste, mais aussi envers les spectateurs, pro-PSG ou non, qui ont assisté à la rencontre et qui à travers ce type de questions, cherchent des réponses claires sur la situation actuelle de ce club.

 

 

Luis Enrique disait être prêt à sacrifier une partie de son salaire pour ne pas répondre aux journalistes

Ce n’est pas la première fois que l’entraîneur parisien se montre réfractaire aux questions post-match. Il y a quelques jours, lors d’une autre conférence de presse, il avait déjà déclaré ne pas ressentir l’envie de justifier ses décisions après les rencontres. Une déclaration qui avait déjà fait grincer des dents, mais qui n’avait pas atteint le niveau de dédain observé hier soir.