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Saison

Tendance négative pour Bafé Gomis

Par la rédaction du Phocéen

Publié le 01/11/2016 à 08:24

Tendance négative pour Bafé GomisTendance négative pour Bafé Gomis

La revue de presse du jour, en ce mardi 1er novembre 2016.

Tendance négative pour Bafétimbi Gomis
Touché à la cuisse gauche dès la 26e minute, Bafétimbi Gomis a aussitôt été strappé mais n'est sorti qu'à la 54e minute, alors qu'il n'est pas parvenu à exercer la moindre influence sur ce OM-Bordeaux. La tuile pour le club phocéen alors que "Bafé" est l'attaquant de L1 le plus utilisé, et qu'il a marqué six des onze buts de Marseille en Ligue 1. Il est incertain pour le déplacement à Montpellier vendredi et, même s'il a tweeté lundi soir "plus de peur que de mal, un point sera fait dans la semaine", la tendance était négative. Retrouvez toute l'actualité sportive dans L'Equipe.

Les montagnes russes pour l'ambiance au Vélodrome
Alors qu'il n'y a eu que 15 jours entre la réception de Metz et celle de Bordeaux, l'affluence du stade Vélodrome a plus que doublé. Une performance qui n'est pas une première dans l'histoire de l'OM, habitué à passer rapidement par tous les états. En octobre 1992, une défaite à domicile contre Nantes provoque des heurts à la sortie du stade et des agressions de voitures de joueurs, notamment celle de Rudi Völler. Quelques mois avant le sacre en Coupe des clubs champions. Avant de remonter en Division 1 en 1996, le club avait également dû faire avec une grève des encouragements contre Poitiers. Les programmes de match avaient été brûlés à l'automne 1971 à la suite d'un match nul contre Sochaux (2-2), pour une équipe qui allait faire le doublé en fin de saison. Retrouvez toute l'actualité régionale dans La Provence.

Le jour où Rudi Garcia roulait vers Marseille
En novembre 2001, Bernard Tapie, alors directeur sportif de l'OM, s'intéresse à Rudi Garcia pour succéder à Tomislav Ivic. "Moi entraîneur de l'OM ? Je me pinçais pour arriver à y croire. Eh bien banco ! Sans vouloir passer pour un prétentieux, le défi ne m'inspirait aucune peur particulière" explique Garcia. Le 8 décembre, il est invité en loge présidentielle au Vélodrome par Tapie, qui lui fixe rendez-vous le lendemain soir. Mais la rencontre sera annulée, Albert Emon lui est préféré. Rudi Garcia l'apprend alors qu'il roule vers Marseille. "A chacun de mes retours à Marseille, je n'ai pu m'empêcher de repenser à cet épisode. Qu'aurait été ma carrière si Tapie avait tenu ses engagements ?" s'interroge l'entraîneur de l'OM. Retrouvez tous les footballs dans France Football.