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Saison

Rémy: "Jusqu'au bout on sera derrière lui"

Par la rédaction du Phocéen

Publié le 22/10/2011 à 23:17

Rémy: "Jusqu'au bout on sera derrière lui"Rémy: "Jusqu'au bout on sera derrière lui"

Retrouvez la réaction de Loïc Rémy devant notre caméra après la victoire de l'OM face à Ajaccio (2-0)

Loïc, l'adversaire était assez faible ce soir ?

Loïc Rémy : "Faible ou pas faible, on avait besoin des trois points. On n'a pas regardé la qualité de l'adversaire, c'était surtout nous, ce qu'on avait à faire de bien. On est content de ce qu'on a fait, car on repart avec les trois points. On ne prend pas de but non plus, c'est rassurant pour la suite. J'espère que ça rassurera nos supporters, même si on est encore perfectible. Ce soir, on prend beaucoup de confiance pour les matchs à venir."

Avec l'ambiance, c'était compliqué ?

L.R. : "Il faut s'attendre à tout avec ces ambiances où les supporters ne veulent pas chanter. Il faut s'y faire et vite se mettre dans le match. Il faut faire abstraction de ce qui se passe autour. Il faut donner tort au public et même si on n'a pas été bon depuis le début de saison, on peut relever la tête. Ce sont des matchs qui donnent confiance, il faut continuer pour avoir une série positive."

C'était un soulagement à la fin du match ?

L.R. : "C'est toujours bien de gagner, à la fin, il y avait des sourires. C'est mieux d'avoir des sourires que des visages tendus. C'est un match qui peut nous permettre d'enchaîner sur une série de victoires. On sait qu'on va être attendu à tous les matchs. Ce match peut nous faire énormément de bien."

Vous soutenez votre coach ?

L.R. : "On est derrière lui, on l'a vu ce soir. On n'est pas prêt de lâcher le coach, car il nous a apporté individuellement et collectivement. Le public a montré son mécontentement, les résultats ne sont pas là, donc le coach prend un petit peu. Nous, on n'est pas prêt de lâcher, jusqu'au bout on sera derrière lui. Tout le monde lui jette la pierre, mais le coach n'est pas sur le terrain, il est impuissant. On doit se dire qu'on doit être derrière lui, car il est le premier à nous défendre. Je ne vois pas pourquoi on ne serait pas là pour lui."