Panathinaïkos-OM : l'histoire commence ici !
Par la rédaction du Phocéen
Publié le 09/08/2023 à 01:00
C'est l'heure du premier match de la saison pour l'Olympique de Marseille.
L'OM est de retour ! La saison 2023-2024 des Marseillais reprend ce soir avec un déplacement déjà très important en Grèce. Face au Panathinaïkos de l'international brésilien Bernard, les Olympiens tenteront de se placer idéalement avant de recevoir mardi prochain ces mêmes adversaires. Un billet pour les ultimes barrages de C1 est en jeu.
Marcelino, Aubameyang, Ndiaye...
Pour ce premier match officiel de la saison, les cinq recrues sont attendues dans le onze de départ. Ismaïla Sarr à droite et Iliman Ndiaye dans l'axe épauleront Pierre-Emerick Aubameyang pour leurs grandes premières. Geoffrey Kondogbia et Renan Lodi devraient aussi commencer la partie. Pour les épauler, on retrouvera Pau Lopez, Jonathan Clauss et Samuel Gigot. Les dernières places de titulaire ne sont pas tranchées. En défense, on retrouvera Leonardo Balerdi ou Chancel Mbemba. Les deux dernières places se joueront en fonction des options tactiques entre Mattéo Guendouzi, Jordan Veretout, Valentin Rongier, Azzedine Ounahi et Amine Harit. Les Grecs, qui ont déjà joué deux matchs officiels pour en arriver là sont sans doute un peu en avance physiquement. Mais l'OM disposera d'un joli banc d'où pourra peut-être sortir Vitinha, meilleur buteur marseillais lors des matchs amicaux. Sans oublier Cengiz Under, toujours au club.
Jamais deux sans trois ?
Avant de recevoir Reims ce samedi, les Phocéens doivent valider les ambitions du club. Que ce soit dans le jeu avec le plan tactique de Marcelino, ou dans les coulisses avec un mercato à déjà 50 millions d'euros signé du duo Longoria-Ribalta. Un match aussi pour lancer le marathon du mois d'août avec 8 matchs en 25 ou 26 jours. Un enchaînement capital pour la saison de l'OM avec deux tours à passer en Ligue des Champions et quatre adversaires à la portée de l'OM sur le papier en Ligue, face à qui il faudra faire le plein ou s'en rapprocher (Reims, Metz, Brest, Nantes). Enfin, pour les superstitieux, rappelons que l'OM a été deux fois obligé de passer par ces obstacles et les a à chaque fois franchis. En 2003, contre l'Austria de Vienne (0-1 et 0-0), puis en 2008 contre les Norvégiens de Brann Bergen (victoires 0-1 et 2-1). Jamais deux sans trois ?