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Saison

OM : Eyraud s'exprime sur l'avenir de Villas-Boas

Par la rédaction du Phocéen

Publié le 15/05/2020 à 19:03

OM : Eyraud s'exprime sur l'avenir de Villas-BoasOM : Eyraud s'exprime sur l'avenir de Villas-Boas

Le président de l'OM s'est exprimé au micro de RMC Sport.

En cette période de turbulence du côté de l'OM, avec le départ du directeur sportif Andoni Zubizarreta et l'incertitude qui plane sur l'avenir d'André Villas-Boas, le président Jacques-Henri Eyraud a pris la parole sur les ondes de RMC.

Lors de l'émission Rothen Régale, le dirigeant marseillais a notamment fait le point sur la situation de son entraîneur. Il a expliqué qu'il souhaitait conserver son technicien : "On s'est vu avec André, on a discuté de tout ça. Les choses sont claires de mon côté. C'est le coach de l'OM et j'espère qu'il le sera encore de nombreuses années. Quand on pense qu'il faut renforcer son organisation, ces choix sont légitimes. Après, non, on ne lui a pas fait d’offre (de prolongation)"

Récemment, Villas-Boas a lié son avenir à celui d'Andoni Zubizarreta, ce qui a fait dire au président marseillais : "Je respecte le duo et les relations qu'ils ont développées avec Andoni, mais ce changement de situation (NDLR : le recrutement d'un directeur général du foot), aurait pu être vécue avec Andoni. Mon souhait, et je lui ai dit, c'est que le projet sportif repose sur AVB. Notre ambition sportive est intacte."

Si Eyraud a martelé qu'il souhaitait conserver AVB, il a laissé entendre que le coach portugais avait des réticences sur sa capacité à continuer à l'OM : "Il ne m’a pas dit qu’il voulait rester. Je lui ai entendu évoquer un doute fort quant à sa capacité à continuer sans Andoni, ça sera sa responsabilité, sa décision. Je respecte. Si André met au dessus de tout son lien avec Andoni, qu’est ce que vous voulez que je vous dise ? Il est reparti au Portugal. Il y a des discussions à avoir en tête à tête. À partir du moment où certaines décisions vont tomber, comme le FPF, qui pourrait aboutir à des sanctions, il y a des contraintes et tant qu'elles ne sont pas levées, il est difficile de prendre des positions".