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Saison

L'OM regarde encore au Portugal

Par la rédaction du Phocéen

Publié le 10/09/2017 à 07:44

L'OM regarde encore au PortugalL'OM regarde encore au Portugal

La revue de presse du jour, en ce dimanche 10 septembre 2017.

L'OM regarde encore au Portugal
Lors de la présentation de Kostas Mitroglou, Jacques-Henri Eyraud avait insisté sur le fait que le Portugal était un terrain de jeu scruté à la loupe par les recruteurs de l'OM. De la parole aux actes il n'y a qu'un pas : vendredi, un émissaire olympien se trouvait au stade de la Luz pour observer la rencontre de championnat entre Benfica, l'ancien club du Grec, et Portimonense (2-1). Retrouvez la présentation du match, avec un focus sur le gardien de Rennes et toute l'actualité régionale, dans La Provence.

Pourquoi c'est plus facilement la crise à Marseille
Est-ce vraiment la crise à l'OM ? Pour le sociologue Ludovic Lestrelin, pas tant que ça, alors que le mercato du PSG a aussi joué dans la crispation générale : "Le football à Marseille est un outil pour rivaliser avec les autres grandes villes particulièrement Paris. Là, les supporters ont vu un creusement abyssal entre le PSG et les autres clubs. Même si les supporters s'en défendent, ils jalousent forcément l'arrivée de Neymar. Il y a un supportérisme contestataire partout. La différence, c'est qu'à Marseille les associations sont nombreuses, qu'elles ont pris l'habitude d'interpeller le club, et aussi d'être sollicitées dans les médias". Retrouvez toute l'actualité nationale dans Le Parisien / Aujourd'hui en France.

Abdennour défend son bilan à Valence
Prêt après avoir fait toute la préparation avec Valence, Aymen Abdennour assure qu'il n'a pas besoin de rebondir après son expérience mitigée en Liga : "J'ai participé à 43 matchs toutes compétitions confondues en deux ans, ce qui n'est pas rien. J'ai eu la chance de disputer de grands matchs, de croiser le Real, Barcelone, Séville... J'ai moins joué la seconde saison avec 14 matchs, mais le club avait recruté Garay et Mangala, j'ai été blessé pendant deux mois aux ischios-jambiers et j'ai fait la CAN en janvier. Et puis j'ai connu huit changements d'entraîneurs en deux ans. On va dire que c'est un peu moyen, ni top ni flop". Retrouvez l'intégralité de l'entretien et toute l'actualité sportive, dans L'Equipe.