L'OM fait mieux que Lyon

Les exigences olympiennes
Pour le match des 16es de finale de la Coupe de France entre Épinal et l'OM, le club vosgien s'est mis en quatre pour satisfaire les exigences de son homologue marseillais. Un cahier des charges bien précis a en effet été transmis au club de National 2. Outre de nombreuses bouteilles d'eau, le staff olympien a demandé à disposer de 150 kilos de glace, deux paperboards, trois vestiaires (un pour l'équipe, un pour le staff et un pour entreposer le matériel). Les Olympiens auront également droit à des pizzas après la rencontre. Retrouvez la présentation du match face à Épinal ainsi que toute l'actualité régionale dans La Provence.

L'OM à guichets fermés
Ce mardi soir, c'est dans un stade de la Colombière archi comble (environ 7000 spectateurs sont attendus) que l'OM disputera son 16e de finale de la Coupe de France face à Épinal. Un engouement supérieur à celui qu'avait connu la préfecture des Vosges lors de la venue, et l'élimination, de Lyon il y a quelques années : "C'est la folie... En 2013, Lyon était venu jouer ici en Coupe de France, mais il n'y avait pas eu un tel engouement, témoigne Yves Bailly, le président du club spinalien. Beaucoup de gens m'ont dit qu'on aurait dû délocaliser la rencontre à Nancy, où l'on aurait pu remplir Marcel-Picot (20 000 places) sans problème. Mais je ne l'ai jamais envisagé, je tenais à ce que le match reste une fête populaire, fidèle à l'esprit de la Coupe de France." Dans les Vosges, de l'élimination de Lyon, il reste également une petite anecdote sur son président : "Jean-Michel Aulas était arrivé comme un grand seigneur, en promettant de laisser la recette, et, au final, comme Lyon avait paumé, il n'avait rien lâché" se souvient Michel Heinrich, le maire d'Épinal. Retrouvez la présentation des 16es de finale de la Coupe de France, ainsi que toute l'actualité sportive dans L'Équipe.

Passi : "Je n'ai jamais eu aucun problème avec Diarra"
Lassana Diarra va s'engager dans les prochaines heures avec le PSG. Son ancien entraîneur sous les couleurs olympiennes Franck Passi explique qu'il devrait facilement s'intégrer à l'effectif parisien, comme il l'a fait à l'OM sous ses ordres : "Au bout de trois ou quatre semaines avec nous, il s'est senti prêt. Et sa présence a tout changé. Il nous manquait un leader. J'étais vraiment très heureux de pouvoir compter sur lui. Il a eu ensuite des problèmes au dos et des soucis avec la direction. Mais moi, comme adjoint ou en qualité d'entraîneur principal, je n'ai jamais eu aucun problème avec lui. Au contraire." Retrouvez toute l'actualité nationale dans Le Parisien / Aujourd'hui en France.