La revue de presse du jour, en ce dimanche 25 septembre 2016.
Thauvin a tout fait L'Equipe consacre un article sur Florian Tauvin, "l'obstiné", et raconte comme le joueur s'est entêté à rejoindre l'OM cet été. Début juin, Thauvin et son agent Fabrizio Ferrari déjeunent chez Vincent Labrune : "Cela s'est transformé en négociations, ils m'ont fait des propositions contractuelles. (...) Il aurait pu avoir des offres de la terre entière, il serait venu à Marseille, in fine" glisse le désormais ex-président de l'OM. Franck Passi a également poussé pour que Thauvin revienne : "Je veux que tu sois dans mon équipe. Je ferai ce qu'il faut pour ça" lui a dit le coach olympien à la fin de la saison dernière.
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Sakai et c'est tout Alors que Hiroki Sakai pourrait tenir sa place ce soir contre Nantes malgré sa blessure, La Provence s'inquiète du manque de solutions à ce poste dans l'effectif marseillais et rappelle qu'au mercato cet été, les recruteurs olympiens n’ont pas jugé opportun d’engager un deuxième arrière droit. À quelques heures de la clôture du marché des transferts, la possibilité de recruter gratuitement l’ancien Nantais Issa Cissokho s’est présentée, mais l'OM a refusé, tandis que Rod Fanni n'a pas été engagé pour occuper ce poste.
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Les Chinois ont été refroidis Le JDD consacre un article aux investissements chinois dans le football européen. Le journal rappelle qu'au début du printemps, la Chine s'intéressait à l'OM par le biais de l'homme d'affaires Tony Xia, propriétaire de la Holding Racon Group. "Le contexte marseillais n'a pas plu, l'accueil a refroidi" raconte l'avocat Pierre Mathey qui a travaillé sur ce dossier. L'investisseur chinois a finalement racheté le club d'Aston Villa en juin dernier.
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Le désamour du public marseillais Dans un article qui s'intéresse à la baisse de l'affluence au Vélodrome, Le Parisien a interrogé Ludovic Lestrelin, sociologue et spécialiste du supportérisme : "Il y a surtout une forme de désamour très nette. Les résultats n'expliquent pas tout. Le public ne se reconnait pas dans le club tel qu'il est dirigé, il ne se reconnait pas dans les personnages qui incarnent l'OM. C'est une crise de la présentation. (...) Mais ça peut vite repartir. Prenons Bielsa : avant qu'il signe, c'était difficile et, d'un coup, c'est redevenu électrique."
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