Benfica-OM : 34 ans plus tard, Vata s'explique !
Par la rédaction du Phocéen
Publié le 09/04/2024 à 08:23
Voici la revue de presse du mardi 9 avril.
L'espoir Mbemba
Dans son édition du jour, L'Équipe fait un focus sur Chancel Mbemba, qui pourrait faire son retour dans le onze olympien face au Benfica Lisbonne. Victime d'une contusion au genou gauche face au PSG, le Congolais serait l'option la plus sérieuse pour évoluer au poste de latéral droit. En effet, Jonathan Clauss est toujours blessé et Ulisses Garcia, qui a joué dans ce rôle contre le PSG et Lille, ne figure pas sur la liste UEFA. Concernant Amir Murillo, nos confrères informent que malgré des progrès significatifs lors des dernières séances d'entraînement, l'international panaméen devrait être de retour pour le match retour prévu le 18 avril prochain. Pour Mbemba, le staff entend évaluer sa situation ce mardi et devrait donner une réponse définitive jeudi matin quant à sa participation ou non au match aller en terres lisboètes. Retrouvez toute l'actualité sportive dans le journal L'Équipe.
"J'ai la conscience tranquille"
C'est une date qui restera malheureusement gravée dans la mémoire des supporters marseillais. Le 18 avril 1990, alors que l'OM affronte le Benfica en demi-finale de la Coupe des clubs champions, Vata est coupable d'inscrire le but de la qualification de la main. Si l'OM va remporter la compétition trois ans plus tard, son nom hante toujours les passionnés du club olympien. Pourtant, 34 ans plus tard, l'attaquant angolais ne change pas sa version des faits. "Franchement, je vous dis la vérité, c'était tellement difficile sur le terrain. Comme je l'ai toujours dit, si j'avais touché le ballon avec la main, on l'aurait vue avec tous les ralentis : ma main est noire et on voit seulement le mouvement. Tout le monde dit que j'ai touché le ballon avec la main, mais on ne voit que le mouvement, pas le ballon", explique-t-il. "Le ballon a pris de la vitesse. Si c'était avec la main, le ballon n'aurait pas pris autant de vitesse. Je respecte tout le monde et l'opinion de chacun. Je reste sur mes positions, j'ai la conscience tranquille. Cela fait 34 ans ! Pourquoi mentirais-je ? Personne ne peut me mettre en prison. Je suis tranquille à la maison en train de vous parler, pourquoi je devrais mentir ? Voilà la vérité", conclut l'homme de 63 ans. Retrouvez toute l'actualité régionale dans le journal La Provence.