La revue de presse du jour, en ce dimanche 17 mars.
Garcia différent en conférence de presse et avec son groupe La persévérance de Rudi Garcia a porté ses fruits. Ceux qui l'ont connu ne sont pas étonnés, comme Anthony Le Tallec, son ancien joueur au Mans : "Après ce qu'il a vécu, il fallait avoir des "cojones" ! Mais ça ne m'étonne pas, il communique très bien avec ses joueurs. Pour un groupe, c'est génial d'avoir un coach comme ça. Au quotidien, il parle beaucoup, ce que peu d'entraîneurs font. J'ai vu, dans les médias, qu'il mettait parfois la faute sur ses joueurs. Mais, en réalité, il est proche d'eux. En privé, il est très différent des conférences de presse. Il y a de fortes têtes dans l'effectif de l'OM et il s'en est bien sorti. C'est l'un des meilleurs entraîneurs français". Retrouvez 4 pages sur PSG-OM, et toute l'actualité régionale, dans La Provence.
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Balotelli avait prévu sa célébration Pour le match aller contre le PSG (défaite 0-2), Rudi Garcia avait demandé à ses joueurs de garder le secret de sa composition d'équipe avec Payet en faux numéro 9. Pour le retour, la surprise pourrait venir au même poste d'une absence, celle de Mario Balotelli. Malade, il y aurait un infime espoir de le voir rejoindre le groupe dans la journée (voir ici). Si Garcia a travaillé plusieurs systèmes cette semaine, toujours à quatre derrière, Balotelli avait participé à toutes les séances sans souci. Il avait même imaginé une nouvelle célébration en cas de but au Parc des Princes... Retrouvez un point complet sur la 29e journée, ainsi que toute l'actualité sportive, dans L'Equipe.
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Kamara, défenseur dès le plus jeune âge Michel Giacomoni est éducateur à l'OM, en charge d'entraîner les U6. Il se souvient de l'arrivée de Boubacar Kamara au club, en 2005 : "Il n'avait que 5 ans. J'ai le souvenir d'un gamin poli, timide, à l'écoute mais surtout très talentueux. Les petits veulent toujours jouer attaquant. Je disais à Bouba qu'il était fait pour jouer derrière, et il m'a tout de suite écouté. Il avait déjà acquis une sorte de maturité". Olivier Jannuzzi, coach finaliste de la Gambardella en 2017 avec lui en 2019 reste sur la même ligne : "Je n'ai jamais vu un jeune avec une telle assurance. Sa présence rassurait ses partenaires. Un calme olympien !". Retrouvez toute l'actualité nationale dans Le Parisien / Aujourd'hui en France.
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