La revue de presse du jour, en vendredi 11 août 2017.
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 Amavi : "Je vais me donner à 100%"
S'il est désormais Olympien, Jordan Amavi a été l'objet de sollicitations cet été. L'ancien latéral gauche d'Aston Villa confirme que plusieurs clubs le suivaient : "Oui, notamment la Fiorentina. C'était concret. Ils m'ont appelé et m'ont présenté le projet. Il y a des joueurs que je connais qui sont partis là-bas, comme Jordan Veretout et Valentin Eysseric. Veretout a même essayé de me faire venir à Florence, mais j'ai choisi l'OM." L'ancien joueur de Nice avoue ne pas s'être interrogé sur la rivalité qui existe entre l'OM et le GYM : "J'ai été formé à Nice, il y a une rivalité, mais je suis à Marseille aujourd'hui et je vais me donner à 100%. C'est le plus important ! Il y a eu d'autres joueurs dans mon cas." Retrouvez également dans La Provence toute l'actualité régionale.
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 Nantes-OM : Pallois devrait bien être là
La commission de discipline de la LFP a décidé d'infliger un match de suspension au défenseur nantais Nicolas Pallois, à la suite d'une révocation de sursis. Cependant, le joueur devrait pouvoir être aligné face à l'OM samedi à la Beaujoire, la sanction ne prenant effet qu'à partir du 15 août. Pallois devrait donc manquer le déplacement de son équipe à Troyes pour le compte de la troisième journée de championnat. Retrouvez les dernières infos mercato, ainsi que toute l'actualité sportive dans L'Equipe.
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 Amoros : "Il faut faire jouer la concurrence"
L'arrivée de Jordan Amavi va donc créer de la concurrence dans le couloir gauche de la défense. Une place occupée jusqu'alors par Patrice Evra depuis janvier dernier. Manuel Amoros, ancien latéral Olympien dans les années 90, évoque cette situation : "Evra n'a pas besoin d'un statut à part. Ce ne serait pas sain. Il faut faire jouer la concurrence, tout simplement, en mettant les choses au clair dès le début. Les tout prochains matchs vont montrer qui est le meilleur. Mais ça peut le rebooster. Evra n'a pas montré de grandes choses depuis janvier, peut-être que le fait de voir débarquer un jeune va lui mettre un coup de pied aux fesses." Retrouvez toute l'actualité nationale dans Le Parisien.
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