Mercato OM : Roberto De Zerbi annonce le départ d'Ismael Koné !

L'entraînement tout à l'heure, on a encore vu qu'il y avait beaucoup d'absents. On a eu un point médical où l'on nous a parlé notamment d'un travail individuel pour Ismaël Koné. Mais déjà, est-ce que vous pouvez nous préciser pourquoi il travaille individuellement ?

Roberto De Zerbi : Non, Koné est en instance de départ. Il va probablement s'en aller.C'est pourquoi cela n'avait pas de sens qu'il s'entraîne avec nous.

Bamo Meité avait déjà un problème hier, un problème intestinal. Qui d'autre est encore blessé ? Luiz Felipe a très bien travaillé ces derniers jours. Mais c'est le début pour lui, il n'a fait qu'une semaine d'entraînement complète avec nous, donc je voulais lui accorder une demi-journée de récupération. Pas de repos total, car il a quand même travaillé séparément, il a observé notre entraînement et nous avons fait un travail tactique. Il est en forme, il est en train de progresser. Avec Luiz Felipe, pour l'instant, il faut être attentif, car si l'on met une surcharge de travail, on risque de le perdre, et on ne peut pas se permettre cela.

 

J'aimerais vous poser une question également sur Ismaël Koné. Êtes-vous en mesure de nous dire où il s'en va et si c'est votre choix, celui du club ou celui d'Ismaël de partir ?

Roberto De Zerbi : C'est un choix du club. Ismaël Koné, on l'a voulu. Moi, je le voulais avec Mehdi Benatia. C'est un joueur très fort, un très bon garçon. Mais nous savons quel est notre objectif, nous savons quelle équipe nous voulons cette année, l'an prochain, et les années suivantes. Il n'a pas donné les signaux, il ne m'a pas montré qu'il était en mesure de faire partie de ce projet. C'est dommage, mais devant lui, il y a aussi beaucoup de concurrence : Højbjerg, Rongier, Rabiot. Moi, je fais jouer ceux qui le méritent. Et si lui ne le mérite pas, cela signifie qu'il y a quelqu'un devant lui qui fait quelque chose de plus, qui contribue à construire une équipe toujours plus forte. Nous allons vraiment pouvoir laisser notre trace, notre empreinte, et nous verrons ensuite.