Mercato : Labrune fait un point précis
Par la rédaction du Phocéen
Publié le 06/01/2014 à 18:31
Vincent Labrune, a fait un point mercato ce lundi soir sur RMC dans l'émission Luis Attaque. Il évoque les pistes Corchia et Alvaro Pereira.
Le président de l'Olympique de Marseille, Vincent Labrune, a fait un point mercato ce lundi soir sur RMC dans l'émission Luis Attaque.
Concernant le cas du latéral droit de Sochaux Sébastien Corchia, Vincent Labrune a indiqué que l'affaire était était au point mort : "Non, je vous dis la vérité, j'ai demandé si on pouvait avoir Sébastien en prêt, il (ndlr : le Président de Sochaux) m'a répondu non, on se reparlera certainement dans les prochains jours, mais j'en suis resté là".
Alvaro Pereira, le latéral gauche international uruguayen de l'Inter Milan, intéresse bel et bien l'OM. "C'est effectivement un joueur qui nous intéresse, on essaie de regarder la faisabilité de ce projet à court ou à moyen terme", a expliqué le président olympien.
Vincent Labrune a également avoir assuré avoir décliné une offre supérieure à 12 millions émise par Naples à la mi-décembre concernant Nicolas Nkoulou.
Il y a quelques jours, l'entraîneur marseillais José Anigo avait donné un indice sur le type de joueur recherché cet hiver. Un profil qui s'inscrit dans la lignée des deux joueurs cités par le président marseillais : "Je n'ai pas besoin d'attaquant. On a ce qu'il faut, on n'a pas besoin de prendre quelqu'un de plus. De toute manière, on n'a pas les moyens de prendre quelqu'un de plus. Et si on doit prendre quelqu'un de plus, ce n'est pas devant où on aura des besoins. Notre difficulté, c'est que l'on n’a quasiment pas fini un match sans prendre de but. Donc, aujourd'hui, défendre c'est un état d'esprit, un collectif, mais c'est aussi des besoins, et il faut être clair, les besoins c'est sur l'extérieur qu'ils se reportent."
Concernant justement José Anigo, Vincent Labrune a précisé qu'il devrait vraisemblablement rester à la tête de l'équipe jusqu'à la fin de la saison et que le futur entraineur aurait plus le profil d'un technicien que d'un meneur d'hommes.