Les consultants Daniel Riolo et Pierre Ménès ne portent pas "petit vélo" dans le cœur et ils le font sentir dans leurs analyses.
"Je ne pourrai jamais faire l'unanimité. Je n'ai pas à me justifier auprès de certains. Je fais mon bonhomme de chemin. Il y a des gens qui m'aiment, d'autres qui ne m'aiment pas. Ce n'est pas grave, la vie continue..." (voir la vidéo). Mathieu Valbuena s'est fait une raison, il sait que son image sera toujours parasitée par des critiques souvent injustifiées.
La faute par exemple à certains consultants comme Daniel Riolo et Pierre Ménès, qui ne portent pas "petit vélo" dans le cœur et qui le font sentir dans leurs analyses. La preuve encore après le match des Bleus contre l'Uruguay, puisque malgré le bon match de Valbuena (lire : la presse salue les 2 Olympiens), les deux observateurs au ton provocateur ont quand même trouvé le moyen de titiller le meneur de jeu de l'OM et des Bleus.
Sur son blog, Riolo a ainsi ironisé : "Valbuena comme souvent est à l’origine de la pauvreté du jeu des Bleus. Attention, c’est positif comme remarque. Lui au moins bouge, essaye (...) Comment un pays avec un peu plus d’habitants que Paris peut former des joueurs comme Forlan, Cavani et Suarez tandis qu’en France notre meilleur joueur est Valbuena ?" Tandis que pour Ménès, lui aussi sur son blog, Valbuena a eu "une participation au jeu assez active avant le repos, mais pas grand-chose par la suite". Et de rajouter : "Très souvent par terre en train de chouiner." Une remarque facile, alors que Ménès aurait pu souligner que si Valbuena s'était retrouvé souvent à terre, c'était surtout à cause des "poètes" Lugano et Coates...