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Interview

OM : Rongier toujours aussi franc sur les difficultés du milieu

Par la rédaction du Phocéen

Publié le 29/01/2021 à 15:55

OM : Rongier toujours aussi franc sur les difficultés du milieuOM : Rongier toujours aussi franc sur les difficultés du milieu

Valentin Rongier répond de manière franche sur les difficultés actuelles de l'OM au milieu de terrain, sans écarter son cas personnel.

Valentin, les critiques sont nombreuses en ce mois de janvier, notamment sur le rôle des milieux de terrain, quel est ton regard sur ces soucis rencontrés ?

Valentin Rongier : "On peut toujours faire mieux, surtout quand l'équipe ne va pas bien, c'est facile de taper sur les individualités. C'est avant tout une question collective. L'année dernière, on n'avait pas ces problèmes-là. On essaie tous de trouver les solutions. L'enchaînement des mauvais résultats apporte aussi sûrement un manque de confiance en chacun et ça se ressent sur le terrain, dans les moments où on défend et où on attaque".

Et toi ?

V.R. : "Je ne me dédouane absolument pas. Je donne le maximum sur le terrain. Peut-être que je suis moins performant individuellement, mais le problème est collectif. On a moins de solutions, comme on a moins de mouvements. On est moins ensemble et ça se voit sur le terrain. Le plus flagrant, c'est défensivement, quand on regarde les matchs, on voit qu'on n'est pas ensemble. Si on arrive à régler ce problème, ça ira mieux quand on aura le ballon".

Tu as parfois joué numéro dix, tu as aussi été plus à l'aise avec Kamara à la récupération, que peux-tu nous dire de ces deux postes différents pour toi ?

V.R. : "Le poste de numéro dix, c'est un métier. C'est un poste compliqué surtout quand on n'a pas l'habitude d'y jouer. On doit constamment bien se situer entre les lignes, ça n'a rien à voir avec le poste de numéro six ou de numéro huit. Ce n'est pas simple, le coach fait aussi avec ce qu'il a. Il y a eu beaucoup d'absents et il doit composer avec ce qu'il a. Notre rôle, c'est de nous adapter. Avec Bouba (Kamara), quand on a joué à deux six, on était complémentaires."