Lucas Mendes parle de son entente avec Nkoulou, de son adaptation à la Ligue 1, et aussi de Diawara, à qui il rend hommage.
Bien établi en défense centrale, Lucas Mendes parle de son entente avec Nicolas Nkoulou, de son adaptation au championnat français, et aussi de Souleymane Diawara à qui il rend hommage.
Lucas, vous regardez devant ou derrière au classement ?
Lucas Mendes : "Je regarde devant, même s'il ne faut pas oublier St Etienne et Nice, car au moindre faux écart de notre part, on peut perdre notre place. Mais moi je préfère regarder devant plutôt que derrière."
Tu t'es désormais bien adapté avec Nkoulou en défense centrale ?
L.M. : "Oui je me suis bien adapté, je n'ai pas de problème. Après je suis comme tous les autres joueurs du groupe, en mesure de commencer un match, mais le choix reste entre les mains du coach qui choisit celui qui va faire les matchs."
Tu t'attendais à t'imposer aussi vite ?
L.M. : "Ce qui m'a gêné au début, c'est que je suis arrivé avec une petite lésion qui m'a empêché de progresser. J'étais en période d'adaptation, je ne comprenais pas la langue. Mais petit à petit je me sens mieux. Je ne peux pas encore donner une interview en français, mais ça va venir !"
Sur le terrain tu n'as pas de problème pour communiquer notamment avec Nkoulou ?
L.M. : "Sur le terrain non, on a une bonne entente, comme avec les autres de la défense. On se parle avant le match aussi pour peaufiner certains points. On communique bien."
Quelles sont les différences entre le championnat brésilien et français ?
L.M. : "Ce qui change le plus c'est la force physique. C'est plus physique ici en France. Il y a aussi la partie tactique qui est différente."
Comment ça se passe avec Diawara ? Même si c'est ton concurrent direct, il te donne des conseils ?
L.M. : "C’est un grand joueur et je n’ai pas doute sur sa capacité et son potentiel à jouer dans l'équipe. C'est un joueur qui a une grande expérience. Les conseils qu'il me donne sont très précieux. D’ailleurs, tout le monde l’apprécie, il est comme un père pour le groupe. C'est quelqu'un important qu'il soit sur le terrain ou sur le banc. C'est un grand monsieur."