Les premiers mots de Valentin Rongier à l'OM

Ces derniers jours ont été stressants pour toi ?

Valentin Rongier : "Oui c'était très stressant et éprouvant pour moi mais aussi pour mon entourage. Je pense à ma famille qui était restée sur Nantes. Il fallait tenir au courant tout le monde. Maintenant le dénouement est bon donc je vais retenir que ça et me concentrer sur mon objectif qui est d'être bon sur le terrain."

Avez-vous eu peur que l'opération ne se fasse pas ?

V.R : "Oui bien sûr, on était sûr de rien. A un moment donné il était même question de rentrer à Nantes, donc forcément, j'y ai pensé. Mais l'issue est positive donc je vais essayer de vite passer à autre chose. Maintenant je vais savourer car je suis très content d'être ici et d'avoir pu signer à l'OM. Je vais en rigoler dans quelque temps."

Quel est ton poste de prédilection ?

V.R : "On n'en pas encore discuté avec le coach. Je peux m'adapter. Le système du coach pour l'instant c'est un 433, moi je peux évoluer en milieu relayeur, je me sens bien à ce poste, mais aussi dans un 442 à plat ou avec un dix, ça ne me dérange pas d'évoluer dans les deux milieux. Et puis si le coach me dit un jour tu vas jouer en dix, je ferai tout mon possible aussi. Mais les deux positions dans lesquelles je me sens le plus à l'aise c'est numéro six dans un 442 à plat et milieu relayeur dans un 433."

A quand remontent les premiers contacts avec l'OM ?

V.R : "Ce n'est pas de la langue de bois que je fais, mais je ne me souviens plus exactement. C'était - si je ne trompe pas - il y a un an et demi / deux ans, je crois. Il y avait eu les premiers contacts mais rien n'avait suivi."

Pourquoi avoir choisi l'OM alors que tu as été sollicité par d'autres clubs cet été ?

V.R : "J'avais mon petit cahier avec les pour et les contre de chaque destination. Et c'est ici que je me retrouvais le mieux car c'est un club qui a une histoire. Moi je suis passionné par le football. Je vais vivre ça comme un gosse, mais en professionnel. Je pense aussi que c'est le club qui peut me permettre le plus de grandir, de franchir ce cap que je cherchais."