De Claudio Ranieri à Didier Deschamps retrouvez les principales déclarations de cet avant match entre l'Inter Milan et l'OM.
Toutes les infos de l'avant-match, cliquez ici : |
De Claudio Ranieri à Didier Deschamps retrouvez les principales déclarations de cet avant match entre l'Inter Milan et l'OM (ce mardi à 20h45, en direct sur TF1, et en direct live texte sur Le Phocéen).
Claudio Ranieri (entraîneur de l'Inter) : "On sait que l'OM est dangereux en contre-attaque, c'est pourquoi il faudra rester concentrés pendant 90 minutes et ne pas leur laisser beaucoup d'espaces. Rémy est un joueur différent de Brandao. Mais nous, on a deux défenseurs centraux très forts, les meilleurs du monde (Lucio et Samuel). On va faire au mieux pour l'arrêter." (Source : Le Phocéen, interview du 12 mars 2012).
Steve Mandanda (gardien de l'OM) : "Une chose est sûre, c'est qu'il faudra forcément montrer autre chose que ce qu'on a montré sur les dernières rencontres en championnat. En face on aura une grande équipe, avec de grands joueurs, donc on sait que ça sera compliqué. Si on veut rivaliser et si on veut faire une grande performance, il va falloir se métamorphoser." (Source : Le Phocéen, interview du 12 mars 2012).
Dejan Stankovic (milieu de terrain de l'Inter) : "Notre victoire à Vérone nous a donné de la confiance, mais on sait que ca ne va être pas facile contre l'OM car ils ont bien joué à l'aller. On devra donc être patient et contrôler le match." (Source : Le Phocéen, interview du 12 mars 2012).
Didier Deschamps (entraîneur de l'OM) : "On ne repart pas de zéro. On a un passé. Il ne reste plus que deux mois de compétition, après on ne va pas vivre avec le quotidien de notre championnat. Si c'est une manière déguisée de demander si on croit, oui heureusement qu'on y croit ! Sinon on prend le bus et on rentre à Marseille ! Il y a peut-être beaucoup de personnes qui n'y croient pas, mais je veux que mes joueurs y croyent. Sera-t-on capable de le faire ? Je ne sais pas comment le match va se passer, mais au moins, il faut avoir au moins les intentions. Le contexte est différent, les exigences beaucoup plus élevées aussi. Il faudra avoir la capacité de faire face à ce qu'on a en face de nous demain soir." (Source : Le Phocéen, interview du 12 mars 2012).