Toutes les infos de l'avant-match, cliquez ici : |
De Didier Deschamps à Arsène Wenger retrouvez les principales déclarations de cet avant match entre l'OM et Arsenal (ce mercredi à 20h45, en direct sur TF1, et en direct live texte sur Le Phocéen).
Didier Deschamps (entraîneur de l'OM) : "Ça peut être un match avec des buts. Arsenal en marque souvent, elle en encaisse aussi. Elle se crée des occasions. En Champions' League, ils seront peut-être plus rigoureux, nous aussi. La force d'Arsenal est dans leur trio offensif, mais aussi au milieu du terrain, qui est très joueur et technique." (Source : Le Phocéen, interview du 18 octobre 2011).
Thomas Rosicky (milieu de terrain d'Arsenal) : "L’OM est un concurrent direct pour la qualification, a-t-il déclaré sur le site des Gunners. Ce sera un gros match. On veut s’imposer à Marseille. Je pense que la « qualif » va se jouer entre l’OM, Dortmund et nous. C’est donc un match capital." (Source : RmcSport.fr, interview du 18 octobre 2011).
Steve Mandanda (gardien de but de l'OM) : "Arsenal est une très bonne équipe, qui est très dangereuse offensivement. Il y a de fortes individualités qui peuvent faire la différence à tous moments. Van Persie est dans toutes les bonnes occasions, il marque énormement de buts. On connait les forces et les faiblesses de cette équipe. Ils sont un peu de la même situation que nous, ils ont du mal en championnat et ils sont bien en Ligue des Champions. On sait qu'ils encaissent beaucoup de buts, il y a des coups à jouer pour nous" Source : Le Phocéen, interview du 18 octobre 2011).
Arsène Wenger (entraîneur d'Arsenal) : "Je pense que l'OM est capable de jouer sur une assise défensive solide, et d'être très efficace en contre attaque. On a vu aussi qu'ils avaient un bon ratio entre le nombre de buts marqués et le nombre de tirs au but. Ils sont capables de hisser leur niveau en Coupe d'Europe pour être efficaces. Ils ont de la vitesse avec Rémy et Ayew, de la vivacité avec Valbuena, un passeur avec Lucho. Ils ont des ingrédients dans l'équipe pour nous mettre en difficulté." (Source : Le Phocéen, interview du 18 octobre 2011).