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Interview

Incidents Lyon-OM : Sampaoli fustige l'attitude des Lyonnais

Par la rédaction du Phocéen

Publié le 17/12/2021 à 15:36

Incidents Lyon-OM : Sampaoli fustige l'attitude des LyonnaisIncidents Lyon-OM : Sampaoli fustige l'attitude des Lyonnais

Jorge Sampaoli critique l'attitude des Lyonnais lors de Lyon-OM.

Plusieurs jours après l'incident grave du Groupama Stadium avec l'agression de Dimitri Payet, le club lyonnais continue de contester sa sanction (pénalité d'un point, match à rejouer à Lyon à huis clos).

Par des communiqués, par la voix de son président Jean-Michel Aulas (qui a écopé de cinq matchs de suspension) et par celle se son entraîneur, Peter Bosz, qui a traité publiquement l'arbitre Ruddy Buquet de "menteur" hier en conférence de presse, l'Olympique Lyonnais continue de faire monter la sauce. Une situation regrettable selon le coach de l'OM Jorge Sampaoli, qui regrette aussi l'attitude des Lyonnais suite à ce qu'il s'est passé, pendant le flottement avant l'arrêt définitif de la rencontre.

Ce dernier, présent en conférence de presse, a fustigé l'attitude des Lyonnais : "On peut seulement accepter les règles indiquées par ceux qui décident de l'avenir du football et être proches de Dimitri Payet, un joueur qui apporte beaucoup de joie à la Ligue 1, on le voit à chaque fois qu'il est sur le terrain. S'il est touché, ça m'inquiète en tant qu'entraîneur. Je ne peux pas juger ce qui ne peut pas être modifié. Les décisions sont prises par des gens compétents pour le faire. Normalement, ce qui devrait se passer, c'est que les staffs et les joueurs de tous les clubs devraient répondre en commun contre ce type de choses. On ne peut pas débattre avec la justice, mais on peut être ensemble. Par exemple, personne de Lyon, que ce soient les joueurs ou l'entraîneur, n'est venu voir Dimitri Payet dans le vestiaire après l'incident. On est tous des rivaux, des adversaires, mais on est avant tout des collègues de travail. Quand ce genre de choses arrive, on devrait faire bloc tous ensemble afin de pouvoir nous protéger et, peut-être, à l'avenir, modifier avec une unité les choses plus tard. Parce que s'il n'y a pas d'unité, il n'y aura pas de solution".