Harit : "être décisif, c'est quelque chose d'important pour moi"

Une très belle victoire 5-0 avec des joueurs qui ont repris de la confiance. Il fallait ce match et ce résultat pour repartir de l'avant.
Amine Harit : Oui, bien sûr. Sur les deux derniers matchs, on a calé un petit peu. C'était important de reprendre, d'engranger de la confiance. Je pense qu'on a été efficaces offensivement mais surtout défensivement ; on n'a pas pris de but et c'était important ce soir. Je suis content pour Elye, qui a pu marquer et va reprendre de la confiance au meilleur des moments.

Vous faites un gros match, vous marquez rapidement, ça vous met forcément dans de bonnes dispositions. Mais tu le disais, il fallait une réaction aussi pour rassurer un peu les supporters. Peut-être vous rassurer vous-mêmes mais aussi rassurer les supporters, car une série de gros matchs arrive.
A.H : C'est clair, je pense que sur les deux derniers matchs, on n'a pas été à la hauteur. On n'a pas fait ce qu'on pouvait faire sur les cinq premières journées. Mais je pense que dans des périodes comme ça, les bonnes équipes, les très bonnes équipes savent réagir. On a réussi à remettre beaucoup d'intensité, que ce soit offensivement mais surtout défensivement. Je pense que c'est de bon augure pour la suite.

Un joli but pour toi, un match plein. Tu n'avais pas eu trop de temps de jeu entre le match contre Lyon et le dernier match contre Angers ?
A.H : Oui, j'avais joué à Strasbourg où je n'avais pas été très bon. C'est bien, ce sont ces matchs-là qui donnent beaucoup de confiance. Mais aussi, le fait de marquer, d'être décisif, c'est quelque chose d'important pour moi. C'est quelque chose sur lequel je dois travailler. Je pense que c'est important. L'efficacité offensive ce soir était là. Ce n'est que du bon, que du positif.

Prêt pour dimanche prochain ?
A.H : Bien sûr, on va se reposer. On va prendre soin des jambes et des têtes, et on va attaquer le match comme il se doit. Il n'y a pas de souci à ce sujet.

Vous avez commencé à en parler entre vous dans le vestiaire ?
A.H : Non, pas encore.