OM Actualités Foot de l’Olympique de Marseille

Rejoignez notre communauté

pour profiter de vos avantages

Thème d'affichage
Interview

Diawara : "Savoir se contenter du nul"

Par la rédaction du Phocéen

Publié le 27/10/2013 à 10:35

Diawara : "Savoir se contenter du nul"Diawara : "Savoir se contenter du nul"

Le défenseur marseillais n'a pas les mots pour décrire cette cinquième défaite consécutive de l'OM.

Le défenseur marseillais Souleymane Diawara n'a pas les mots pour décrire cette cinquième défaite consécutive de l'OM.

Souleymane, on imagine que vous êtes abattu après cette défaite.

Souleymane Diawara : "Je pense qu'on a fait le plus dur en revenant à 2-2. Et on voulait tellement mettre le troisième pour prendre les trois points, que derrière, perte de balle, minicontre, centre, but dans les arrêts de jeu. Ça nous a tués. Des fois, il faut juste se contenter du match nul et repartir avec un point".

Élie Baup vous a parlé après le match ?

S.D : "Non, il ne nous a rien dit. Qu'est-ce que vous voulez qu'il nous dise ? On va voir demain (dimanche) parce que je pense que ce n'est jamais bon de parler à chaud. Mieux vaut attendre dimanche que les esprits s'apaisent et se dire les choses en face".

Tu penses que vous avez subi la pression du public avant le match ?

S.D : "Non, on était bien rentré dans le match. Malheureusement, on prend deux buts. C'est surtout le premier qui nous fait mal, parce qu'on était bien en place, on marque, même s'il y a hors-jeu, on n'était pas inquiété. Coup franc dévié, but, c'est sûr que ça nous fait du mal. Et sur le corner... Pourtant, on avait vu à la vidéo leurs combinaisons, ils avaient marqué un ou deux buts comme ça. On n'a pas été vigilant".

Tu te doutes que les supporters ne vont pas bien vivre cette série...

S.D : "On connaît la situation, on connaît le club, on connaît la ville. On sait qu'on n'accepte pas les défaites. Je n'ai pas de mots pour expliquer cela, mais dès dimanche il faut retourner au charbon, plus se poser de questions et prendre les trois points à Rennes coûte que coûte".