Didier Deschamps, le coach olympien, a évoqué les banderoles déployées chez les Winners mercredi au Vélodrome contre Nancy.
Didier Deschamps, le coach olympien, a évoqué les banderoles déployées chez les Winners mercredi au Vélodrome contre Nancy (lire ici).
Didier, les supporters ne visent pas du tout le président, comment vous l'interprétez ?
Didier Deschamps : "Je n'interprète pas. Je fais comme vous, je peux m'interroger, c'est tout. Je ne veux pas rentrer trop là-dedans. Après, il y a le contenu... Si j'en reparle aujourd'hui, ça va encore... Quand on me reparle de Monaco, j'ai un peu de mal, car je suis resté quatre ans là bas, je suis parti au bout de la sixième journée, donc la cinquième saison... Depuis se sont succédé sept entraîneurs et quatre présidents. Je suis responsable de beaucoup de choses, mais si j'ai coulé l'AS Monaco... "
Vous êtes allé les voir (les Winners) ?
D.D. : "Non. J'ai rencontré le chef en octobre. Déjà, il m'avait dit des choses un peu à tomber par terre, qu'on lui a transmis forcément. Après, je peux comprendre qu'on puisse m'en vouloir pour certaines choses. Je leur ai dit, si vous voulez me voir, je suis là, il n'y a pas de soucis, je suis disponible. Ça ne les empêche pas de venir au club quand même."
Vous dites que des gens transmettent des choses...
D.D. : "Forcément, ça parle tellement partout. Mais pas forcément les mêmes personnes, il y a des messages qui sont passés."