De retour dans le onze à la place d'Imbula, Benoît Cheyrou trouve que le scénario se répète après les défaites contre Arsenal et Dortmund.
De retour dans le onze à la place d'Imbula, Benoît Cheyrou trouve que le scénario se répète après les défaites contre Arsenal et Dortmund.
La Ligue des Champions est terminée pour l'OM ?
Benoit Cheyrou : "Il reste trois matchs. Je n'ai pas le classement en tête, c'est difficile de faire une analyse à chaud. Mais on mesure le chemin qu'il nous reste à parcourir pour atteindre le niveau de ces équipes."
Au moins, vous vous reconcentrez que sur le championnat.
B.C : "Le match le plus important, c'est toujours le prochain. On ne peut pas penser à Reims en jouant Naples. On donne tout à chaque match. On se prépare désormais à bien récupérer pour être le plus frais possible samedi."
Qu'est-ce qui vous a manqué sur ce match ?
B.C : "Comme contre Arsenal et Dortmund. C'est à chaque fois un peu le même scénario. On n'a pas vraiment l'impression d'être vraiment en dessous dans le jeu. Mais il y a des occases qu'ils mettent au fond, qu'on ne met pas. C'est le très haut niveau, ce qui nous sépare encore des très grands clubs européens."
Le vestiaire était abattu ?
B.C : "Deçu, mais pas abattu. Il faut relever la tête et affronter les jours à venir. C'est sûr qu'il y a moins de sérénité que lorsqu'il y a une série de victoires, mais il ne faut rien lâcher."
Cela vous touche d'entendre les supporters dirent : "mouillez le maillot" ?
B.C : "Ca ne fait pas plaisir à entendre, mais les supporters font passer des messages. Quatre défaites d'affilée, ce n'est pas normal pour l'Olympique de Marseille. Il faut montrer autre chose et c'est pour ça qu'on se projette sur le match de Reims avec beaucoup d'ambitions et beaucoup d'envie."