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Mercato OM : Amine Harit vendu en janvier ?

Par la rédaction du Phocéen

Publié le 21/12/2024 à 08:20

Mercato OM : Amine Harit vendu en janvier ?Mercato OM : Amine Harit vendu en janvier ?

Voici la revue de presse du samedi 21 décembre 2024, à la veille de Saint-Etienne-OM, 32e de finale de coupe de France.

Mercato OM : Amine Harit vendu en janvier ?

Amine Harit pourrait quitter l’Olympique de Marseille en janvier. L’international marocain de 27 ans, arrivé en 2021 en provenance de Schalke 04, ne s’inscrit plus pleinement dans les plans de l’OM. Malgré un bon début de championnat, marqué par des performances décisives comme lors de la victoire contre Brest (5-1) où il a été impliqué sur tous les buts, et son ouverture du score face à Reims (2-2), sa situation s’est dégradée. Sous Roberto De Zerbi, Harit a perdu sa place dans le onze titulaire. Deux expulsions (contre Lyon et Paris) et une blessure au mollet l’ont éloigné des terrains, laissant le coach italien installer un nouveau système tactique. Désormais, Mason Greenwood et Adrien Rabiot occupent des positions où Harit excellait sous Igor Tudor. L’absence de Coupe d’Europe limite également les rotations, réduisant davantage son temps de jeu. Au-delà des considérations sportives, Harit pourrait être vendu pour améliorer les finances du club. Acheté pour 5,5 millions d’euros en 2022 et sous contrat jusqu’en 2027, son transfert serait déjà amorti. De plus, son salaire élevé et son potentiel de revente en font un candidat logique à un départ. L’OM n’aurait pas besoin d’une offre importante pour s’y retrouver. Malgré tout, Harit, attaché au club, n’envisage pas un départ précipité et étudiera les options avec soin. Son profil créatif reste suivi par des clubs européens, comme cela avait été le cas pour Villarreal ou Galatasaray par le passé.

"Balerdi a eu besoin de quelques matchs pour se détendre"

Désormais prolongé jusqu’en 2028 avec l’Olympique de Marseille, Leonardo Balerdi doit apprivoiser son rôle de capitaine, non sans difficultés. Les matchs compliqués contre Lyon, Paris et Auxerre ont marqué un début de saison en dents de scie. "Il lui a fallu quelques matches pour se détendre par rapport à ce brassard, là on sent qu’il redevient le Leo du précédent cycle, qu’il a mûri," explique son entourage. Parmi ses progrès, une meilleure gestion des échanges avec les arbitres, une mission essentielle pour un capitaine.

Balerdi a également pris l’initiative d’organiser une sortie à Copenhague en début de semaine avec son vice-capitaine, Pierre-Emile Højbjerg, pour évoquer les jours de repos des joueurs.

En conférence de presse, Amir Murillo n’a pas tari d’éloges : "Depuis que je suis ici, c’est l’un de ceux qui m’ont le plus aidé, et il est le même sur le terrain, à savoir un grand joueur et une belle personne. C’est un super leader. Voilà pourquoi il a ce brassard, il joue très bien son rôle."

A la Commanderie, on le décrit comme "le mari et le gendre idéal", son statut de "capitaine idéal" reste à confirmer, ce serait le cas en cas de victoire en Coupe de France, un rêve qu’il espère concrétiser. Cela commence par le 32ᵉ de finale contre Saint-Étienne, ce dimanche.